* La mise en scène des prémices de ces deux œuvres se structure à partir d’un jeu d’inversion de positionnement de teintes automnales, de confrontations entre le petit et le grand. Dessins, collages, courbes, couleurs et perspectives s’entrecroisent afin de composer des ambiances éphémères.

Le regardeur peut se demander qui est l’intrus? Lui-même ou le regardé? De la mouvance des notes de musique sur la toile naissent des espaces où se brouillent les frontières de la réalité et de la mémoire. Les impressions émouvantes des infinies vibrations de nos forêts côtoient la partition musicale utilisée dans le collage : Sonate Pathétique de Beethoven Op.13.